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TAMAR KARAVAN : TOUT UN MONDE DE CRÉATIVITÉ ET DE LIBERTÉ

Ghislaine Dichy • déc. 19, 2022

RENCONTRE TALENT

I Travel Inside partage ses rencontres "coups de coeur" de personnalités qui témoignent de la culture entrepreneuriale, de l'esprit innovant et de la formidable créativité à l'israélienne. INTERVIEW

ISRAËL EST UN INCROYABLE MELTING-POT DE CULTURES DU MONDE ENTIER. QUEL EST LE MIX DE VOS ORIGINES ?


Mes grands parents maternels sont nés en Pologne et paternels à Lviv en Ukraine. Ma mère est née à Varsovie et elle a vécu l’histoire de l’holocauste. Mon père Dani est né ici, en Israël à Tel-Aviv. Cela explique leur esprit différent, leurs personnalités à l’extrême. Mon père croyait dans un monde bon, dans la bienveillance des gens, dans le bonheur et le futur. Ma mère, c’est tout le contraire, bien qu’elle soit arrivée jeune en Israël, après la guerre, à l’âge de 18 ans. Mes parents se sont rencontrés au kibboutz Harel, un kibboutz très socialiste.

Je suis née à Tel-Aviv. À 9 ans, on est partis pour 3 ans à Florence en Italie pour le travail de mon père qui s’est engagé dans une carrière internationale, puis 5 ans à Paris.

SELON VOUS, C’EST QUOI ÊTRE ISRAÉLIEN ? QUELLES SONT LES SPÉCIFICITÉS DE L’ESPRIT ISRAÉLIEN ?


Pour moi, en positif, les israéliens sont très ouverts, ils sont solidaires, généreux, altruistes et ont un sens très fort de la famille. En négatif, ils ont une forme de complexe de supériorité et ça c’est tout l’opposé de ce que mon père m’a transmis. Et puis, je pense que l’israélien a dans son inconscient une forme de trauma (le trauma des parents qui ont connu l’holocauste, le trauma des guerres, du terrorisme…), un esprit de survivant qui se traduit par une façon d’être toujours sur ses gardes et sur la défensive.

VOUS ÊTES ARTISTE, PHOTOGRAPHE, DESIGNER, ART THÉRAPEUTE, FOODHOLIC, SOCIAL MEDIA ADDICT… D’OÙ EST VENUE VOTRE VOCATION ? QU’AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ ?


Mon père Dani Karavan qui était un très grand artiste, a bien sûr influencé ma passion pour la création. Il m’a apporté la lumière. Il me disait que le talent était un devoir. Le plus grand cadeau qu’il m’a donné, c’est la liberté de faire ce que j’avais envie de faire.

Et je pense aujourd’hui que l’Italie m’a beaucoup inspirée dans mon art, j’y ai vu notamment, la beauté de la Renaissance. Paris m’a ouvert l’esprit sur la mode, le style. Avec ma mère, on raffolait des magazines féminins français (Elle, Marie Claire, Vogue).

Après l’armée, à 20 ans, j’ai étudié la « Visual Communication » à la Bezalel Academy of Arts and Design à Jérusalem : art, illustration typographie… Et il y a 10 ans, j’ai étudié la psychologie de la famille et des enfants pour exercer l’Art Therapy et aider les enfants en souffrance.

PARLONS DE VOS ACTIVITÉS ET PASSIONS…

 

En premier, être maman a été la chose la plus grande qui me soit arrivée dans la vie, ce qui a le plus de valeur et qui m’a apporté le plus de bonheur.

Je suis artiste dans tous les domaines… La création est ma passion. Créer un bon film, une bonne photo, une bonne story, un bon plat… Créer, créer ! Je fais de la photographie d’art. J’expose principalement, dans des galeries et musées. Cette année, j’ai collaboré avec le Musée d’Art de Tel-Aviv sur le projet NFT, un projet avant-gardiste d’art virtuel. J’ai également réalisé une exposition photo de dix femmes qui ont vaincu le cancer du sein. Le travail artistique avec ces héroïnes a été vraiment passionnant. En 2019, mon exposition en solo "A room of my own", a été un très grand succès en Israël : intime et féministe, elle racontait le désir d’amour et de connexion avec soi-même.

J’ai aussi un partenariat artistique avec le Musée d’Art de Tel-Aviv pour leur compte Instagram, en lien avec leurs expositions d'artistes internationaux (Alexander Calder, Yayoi Kusama…).

Je fais de la production de mode, pour des créateurs que j’aime et qui m’inspirent. Je réalise tout : les photos, le stylisme, l’écriture.

J’aime la mode, j’aime changer de style, jouer, oser selon mon humeur. Mais la pandémie a changé mon point de vue. J’ai compris qu’il y avait des choses plus importantes. Je collectionne les vêtements, je ne jette rien, j’ai hérité ça de ma mère et de ma grand-mère.

La musique occupe aussi une place importante dans ma vie. J’ai créé de nombreux vidéo-clips pour des chanteurs israéliens reconnus.

Je pratique l’Art Therapy pour les enfants de 3 à 12 ans. J’ai reçu un don dans la vie, j’ai une connexion particulière avec les enfants. Ils se sentent tout de suite en confiance avec moi. Ils ne ressentent pas qu’ils sont en thérapie. La méthode consiste à développer leur créativité et à se sentir mieux par la parole, l’art, l’expression de soi (dessin, peinture, musique, danse…). C’est très gratifiant et cela m’a beaucoup appris sur moi-même.

J’écris beaucoup pour m’aider à sortir du deuil de mon père. J’ai pris conscience que le temps est venu d’aller de l’avant par rapport à ça. J’aime faire la cuisine surtout méditerranéenne et italienne. J’invente, sans avoir besoin de recettes. Encore et toujours, l’envie de créer... Et je suis très gourmande !

À PROPOS DES RÉSEAUX SOCIAUX... VOUS ÊTES TRÈS ACTIVE ET CRÉATIVE SUR INSTAGRAM. VOUS AVEZ 30 000 FOLLOWERS, CE QUI FAIT DE VOUS UNE INFLUENCEUSE. QUELS SONT VOS OBJECTIFS ?

 

C’est vrai que j’aime partager sur Instagram. Je ne cherche pas vraiment y à être une influenceuse, bien que les gens me disent que je le suis. Tout ce que je fais, je le fais avec mon cœur, c’est mon mantra. Je m’amuse, je fais beaucoup avec humeur, c’est un peu comme mon petit cinéma, mon journal personnel. Mais j’ai mes limites, je n’expose pas ma vie intime.

Pour moi, Instagram est une formidable source d’inspiration, un moyen de regarder ce que font les gens qui m’intéressent. C’est aussi quelque chose de terrible car il y a beaucoup de « fake » et de gens qui inventent leur vie.

QUELLES VALEURS VOUS GUIDENT DANS LA VIE ET VOTRE BUSINESS ?


Je ne ressens pas que je fais du Business. Je fais ce qui vient du cœur, ce qui me donne du plaisir.

Ce qui est très important pour moi, c’est la bienveillance, traiter les autres comme on voudrait être traité. Ce n’est pas toujours facile, mais je l’ai toujours en tête, ça vient de ma mère et de mon père. 

Il y a une chose essentielle, c’est d’être en contact avec soi-même, de parler avec soi-même, de bien se connaître. Aussi, je me fiche de ceux que les gens disent et pensent de moi. Ça remonte à l’école pendant mon enfance en Italie et mon adolescence à Paris, où les élèves se moquaient de moi parce que j’étais maigre et que je ne parlais pas la langue. Je me suis dit que j’allais mourir si je me laissais gagner par la méchanceté des autres. Alors, j’ai trouvé la force de dépasser tout ça.

AVEZ-VOUS ENCORE DES RÊVES ? DE NOUVEAUX PROJETS ?

 

JE VEUX FAIRE DU CINÉMA, derrière la caméra pour raconter des histoires. Toutes les choses que j’ai faites jusqu’à maintenant, les photos, les vidéos, les costumes, les histoires me conduisent en toute logique, à vouloir faire des films. J’ai travaillé sur un film à propos de mon père. Je dois avoir des financements pour le montage. Il y a eu le documentaire « High Maintenance » de Barak Heymann. Mais mon film est très différent, très intimiste, ce sont des conversations avec mon papa.

J’ai commencé un cursus à l’Université de Tel-Aviv pour me perfectionner dans les techniques de la mise en scène cinématographique. C’est très stimulant de me retrouver sur ce campus avec tous ces étudiants et de continuer à apprendre.

Je suis aussi en train d’écrire un livre et j’aimerais qu’il soit adapté en série.

POUR TERMINER NOTRE INTERVIEW… QUEL EST VOTRE BEST OF ISRAËL ?

 

o  Votre lieu préféré

Deux œuvres de mon père : Negev Monument, dans le désert près de Beer Sheva et Kikar Levana, près de Tel-Aviv.

Negev monument est la première oeuvre in situ de mon père. Je suis née la même année que sa création. Pour moi, Kikar Levana est le plus bel endroit holistique.

o Votre hôtel préféré

Elma Arts Complex Hotel pour l’Art, Lily Elstein sa propriétaire et créatrice, une femme exceptionnelle et pour mes bons souvenirs là-bas.

o Votre restaurant préféré

Meat Bar, le restaurant que je fréquente certainement le plus, depuis 20 ans, car j’aime la très bonne viande.

o  Votre plat israélien préféré

Couscous, houmous, falafel… La nourriture orientale, quoi !

o Votre musée ou lieu artistique favori

La nature est mon lieu artistique préféré. La nature est le Best Art !

o  Votre marque de mode préférée

Pour mon premier mariage, je voudrais porter une robe de Vivi Bellaish. Il a un talent fou !


Tous mes remerciements et félicitations à Tamar Karavan 

@tamarkaravan


ENGLISH VERSION

I TRAVEL INSIDE shares its “coups de coeur” of personalities who highlight the entrepreneurial culture, the innovative spirit and the tremendous Israeli creativity. INTERVIEW

TAMAR KARAVAN : A WHOLE WORLD OF CREATIVITY AND FREEDOM

TALENT

ISRAEL IS AN INCREDIBLE MELTING POT OF CULTURES FROM ALL OVER THE WORLD. WHAT IS THE MIX OF YOUR ORIGINS?

 

My maternal grandparents were born in Poland and paternal grandparents in Lviv in Ukraine. My mother was born in Warsaw and she lived the history of the Holocaust, My father Dani was born here, in Israel in Tel-Aviv. This explains their different spirit and their two extreme personalities. My father believed in a good world, in the kindness of people, in happiness, in the future. My mother is quite the opposite, although she arrived in Israel when she was young, after the war, at the age of 18. My parents met at Kibbutz Harel, a very socialist kibbutz. I was born in Tel Aviv. At the age of 9, we left for 3 years in Florence in Italy for the work of my father who started an international career, then 5 years in Paris.

ACCORDING TO YOU, WHAT DOES IT MEAN TO BE ISRAELI ? HOW WOULD YOU DESCRIBE THE TYPICAL ISRAELI SPIRIT ?

 

For me, on the positive side, the Israelis are very open, they have a spirit of solidarity, generosity, altruism and a very strong sense of the family. On the negative side, they have a kind of superiority complex and that is the complete opposite of what my father taught me. And then, I think that the Israeli has in his unconscious a form of trauma (the trauma of parents who experienced the Holocaust, the trauma of wars, of terrorism, …), a survivor's spirit which explains that they are always on their guard, on the defensive.

YOU ARE AN ARTIST, A PHOTOGRAPHER, A DESIGNER, ART THERAPIST, FOODHOLIC, SOCIAL MEDIA ADDICT… WHERE DID YOUR VOCATION COME FROM? WHAT DID YOU STUDY?

 

My father Dani Karavan who was a very great artist, of course influenced my passion for Creation. He brought me light. He told me that talent was a duty. The greatest gift he gave me was the freedom to do what I wanted to do.

And I think today that Italy inspired me a lot in my art, I saw there in particular, the beauty of the Renaissance. Paris opened my mind to fashion and style. With my mother, we loved French women's magazines (Elle, Marie Claire, Vogue).

After the army, at the age of 20, I studied "Visual Communication" at the Bezalel Academy of Arts and Design in Jerusalem : art, illustration typography... And 10 years ago, I studied Psychology of the family and children to practice Art Therapy and help children who suffer.

LET'S TALK ABOUT YOUR ACTIVITIES AND PASSIONS...

 

First, to be a mother is the greatest thing that happened to me in my life, the most valuable thing that has brought me the most happiness.

 

I am an artist in many fields… Creation is my passion. To create a good film, a good photo, a good story, a good dish… Create, create!

 

I do art photography. I exhibit mainly in galleries and museums. This year, I collaborated with the Tel Aviv Museum of Art on their NFT project, an avant-garde virtual art project. I also made a photo exhibition of ten women who have overcome breast cancer. The artistic work with these heroines was really exciting. In 2019, my solo exhibition "A room of my own", was a great success in Israel: an exhibition intimate and feminist, about the desire for love and connection with oneself.

I also have an artistic partnership with the Tel-Aviv Museum of Art for their Instagram account, in connection with their exhibitions (Calder, Kusama…).

 

I do fashion production for designers that I love and who inspire me. I realize everything: photos, styling, editing.

I am a fashion lover, I like changing my style, playing, daring, according to my mood. But the pandemic changed my point of view, I understood that there were more important things. I collect clothes, I don't throw anything away, I inherited that from my mother and my grandmother.


Music is also really important in my life. I have created many music videoclips for highly recognized Israeli singers.

 

I practice Art Therapy for children from 3 to 12 years old. I received a gift in life, I have a special connection with children. They immediately feel confident with me. They do not feel that they are in therapy. The method consists of developing their creativity and feeling better through speech, art, self-expression (drawing, painting, music, dance...). It is very rewarding and it taught me a lot about myself.

I write a lot too, to help me come out of the mourning of my father. Now, I have realized that it’s time to move forward.

 

I like to cook, especially Mediterranean and Italian cuisine. I invent, without the need for recipes. Again and again, the desire to create... And I am a food lover !

LET'S TALK ABOUT SOCIAL MEDIA. YOU’RE VERY ACTIVE ON INSTAGRAM WITH MUCH CREATIVITY, STORYTELLING… YOU HAVE 30,000 FOLLOWERS, WHICH MAKES YOU AN INFLUENCER. WHAT ARE YOUR GOALS ?


It's true that I like to share on Instagram. I'm not really looking to be an influencer, although people tell me that I am an influencer. Everything I do, I do it with my heart, that's my mantra. I have fun, I do a lot with humor, it's a bit like my little cinema, my personal diary. But I have my limits, I don’t exhibit my private life.

For me, Instagram is a great source of inspiration, a way to see what the people I care about are doing. It's also something awful because there are a lot of "fakes" and people who invent their lives.

WHAT VALUES DRIVE YOU IN YOUR LIFE AND YOUR BUSINESS?


I don't feel like I'm doing business. I do things that come from the heart and give me pleasure.

 

What is very important to me is kindness, treating others as you would like to be treated. It's not always easy, but I always have it in mind, it comes from my mother and my father.

And something essential, is to be connected with yourself, to talk with yourself, to know yourself. Also, I don't care what people say and think about me. It goes back to school during my childhood in Italy and my adolescence in Paris, when the students laughed at me because I was skinny and I didn't speak the language. I told myself that I would die if I let myself be carried away by the wickedness of others. So, I found the strength to overcome all that.

LET'S TALK ABOUT SOCIAL MEDIA. YOU’RE VERY ACTIVE ON INSTAGRAM WITH MUCH CREATIVITY, STORYTELLING… YOU HAVE 30,000 FOLLOWERS, WHICH MAKES YOU AN INFLUENCER. WHAT ARE YOUR GOALS ?


It's true that I like to share on Instagram. I'm not really looking to be an influencer, although people tell me that I am an influencer. Everything I do, I do it with my heart, that's my mantra. I have fun, I do a lot with humor, it's a bit like my little cinema, my personal diary. But I have my limits, I don’t exhibit my private life.

For me, Instagram is a great source of inspiration, a way to see what the people I care about are doing. It's also something awful because there are a lot of "fakes" and people who invent their lives.

DO YOU STILL HAVE DREAMS? NEW PROJECTS?

 

I WANT TO MAKE CINEMA, behind the camera, to tell stories. All the things I've done so far, the photos, the costumes, the videos, the stories, logically lead me to make films. I worked on a film about my father. I just need funding for the editing. There was the documentary “High Maintenance” by Barak Heymann. But my film is very different, very intimate, it’s about conversations with my dad.

I started a course at the Tel Aviv University to improve my skills in directing films. It is very stimulating to be on this campus with all these students and to continue to learn.

I am also writing a book and I would like this book to be adapted into a series.

TO END OUR INTERVIEW... WHAT IS YOUR BEST OF ISRAEL ?


o Your favorite place

Two works by my father: Kikar Levana near Tel-Aviv and Negev Monument, in the desert near Beer Sheva.

Negev monument is my father's first site-specific work. I was born the same year as its creation. For me, Kikar Levana is the most beautiful holistic place.


o Your favorite hotel

Elma Arts Complex, for Art, Lily Elstein, its owner and creator, an exceptional woman and for my good memories there.

 

o Your favorite restaurant

Meat Bar, the restaurant that I have certainly frequented the most, for 20 years, because I like very good meat.

 

o Your favorite Israeli dish

Couscous, hummus, falafel… Oriental food.

 

o Your favorite museum or top art venue

Nature is my favorite artistic place. Nature is the Best Art!

 

o Your favorite fashion brand

For my first wedding, I would like to wear a dress by Vivi Bellaish. His talent is outstanding !


All my thanks and congratulations to Tamar Karavan

 @tamarkaravan


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